DES PROJETS POUR L’AFRIQUE
L’Organisation
Régionale
Africaine
de
Communication
(RASCOM),
vint
résoudre
le
problème
où
près
de
43
pays
africains
se
fixent
l’objectif
d’arroser
tout
le
continent
y
compris
ses
zones
éloignées,
en
télécommunications
par
satellite
sans
pour
autant
transiter
par
des
pays
hors
de
l’Afrique
afin
d’éviter
les
coûts
exorbitants
et
la
victimisation
des
consommateurs.
Pendant
que
le
projet
d’American
Telegraph
&
Telephon
(AT&T)
où
Africa-One
de
Columbia
Ltd
tenait
à
ceinturer
le
continent
avec
la
fibre
optique
en
câble
sous-marin
long
de
32000
kms,
la
multinationale
Globalstar
possédait
déjà
quarante-huit
(48)
satellites
qui
alimentaient
la
grande
partie
du
continent pour renforcer ou déposer l’existant analogique.
LA LABORIEUSE FIN DES MONOPOLES POUR LA LIBÉRALISATION DU SECTEUR DES
TÉLÉCOMMUNICATIONS
Dès
1990,
les
dirigeants
africains
entamèrent
la
privatisation
du
secteur
des
télécommunications
afin
de
répondre
aux
souhaits
des
institutions
financières
internationales
pour
de
la
souplesse
et
la
liberté
permettant
l’octroi
de
licence
à
des
opérateurs
étrangers
au
but
de
faire
baisser
le
coût
des
communications.
Autrement,
un
appel
coûterait
moins
cher
vers
l’Europe
qu’entre
les
capitales
des
pays
voisins
en
Afrique
où
les
fournisseurs
d’accès
se
trouvaient
contraints
de
payer
la
totalité
du
coût
de
leur
communication
aux
opérateurs
des
télécoms
occidentaux ; soit, environ 500 Millions de dollars US chaque année.
QUAND LA RÉALITÉ FAIT SONNER LE GLAS AU GÉANT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
OUEST-AFRICAIN : L’OPT DU NIGER
Autrefois,
considéré
la
proue
des
télécommunications
dans
la
partie
ouest-africaine,
l’Office
des
Postes
&
Télécommunications
(OPT)
du
Niger,
perdit
d’énormes
prestiges
malgré
de
réels
efforts
consentis
par
l’Etat
pour
rester
en
lice
dans
la
course
aux
NTIC.
Lorsqu’avant
la
privatisation,
il
était
plus
facile
d’avoir
son
correspondant
à
l’intérieur
qu’à
l’extérieur
du
pays
;
la
situation
catastrophique
de
l’OPT
atteignit
son
paroxysme
quand
les
investissements
promis
par
le
Consortium
sino-lybien
(ZTE/Lap-Green)
repreneur
stratégique,
ne
furent
qu’un
simple
mirage
où
la
vétusté
des
équipements
vint
s’ajouter
à
l’extrême
cherté
des
services
avec
les
seuls
opérateurs
de
téléphonie,
dont
:
la
nationale
Niger-Télécoms
(ex-Sonitel
&
Sahel.com),
Airtel
(ex-Celtel-Niger),
Moov (ex-Télécel) ou Afripa-Télécom avant l’arrivée d’Orange-Niger.
Quand
il
faillait
résoudre
le
problème
de
fiabilité
aux
réseaux
d’accès
à
tous
les
niveaux
allant
d’internet
au
téléphone
fixe
et
cellulaire
exploité
en
Mobile
Processus
System
(MPS),
peu
d’hommes
d’affaires
étaient
enclins
à
revendiquer
le
numérique
ou
faire
pression
sur
le
gouvernement
qui
ne
faisait
pas
d’effort
pour
remplacer
les
équipements
analogiques
devenus
vétustes
par
du
numérique
plus
fiable
et
à
faible
consommation
énergétique
afin
de
vulgariser
les
NTIC.
Le
progrès
technologique
vint
améliorer
la
situation
de
l’Afrique
en
général
et
du
Niger
en
particulier,
avec
l’apport
infrastructurel
moderne
en
matériels
et
équipements
adéquats,
moins
coûteux
et
faciles
à
l’installation
pour
de
système
à
connectivité
du
genre
Global
System
Mobile
(GSM),
qui
satisfait
aux
téléphones
cellulaires
portables
alliant
la
carte
de
prépaiement
des
services
tout
en
augmentant
la
télé-densité
à
deux fois plus que la moyenne mondiale.
STRATEGIE DE MISE EN OEUVRE
Pour
atteindre
pleinement
ses
objectifs,
l’Alliance
ALLIANCE
A2DER
&
RAR
a
noté
d’effectuer
des
missions
périodiques
jusqu’aux
fins
fonds
des
entrailles
du
monde
rural
et
zones
reculées,
près
des
couches
sociales
concernées
afin
d’entretenir
et
pérenniser
l’approche
participative
de
tous
les
habitants.
Or,
pour
engendrer
des
générations
conscientes
et
responsables
à
même
de
relever
le
défi
contre
la
pauvreté
et
la
délinquance
;
c’est
à
la
manière
des
examens
scolaires
évaluant
les
élèves
que
l’
Alliance
A2DER
&
RAR
se
servira
de
l’expérience
de
ses
membres,
hommes
et
femmes,
qui
ont
donné
et
donnent
encore
le
maximum
de
leur
savoir
et
savoir-faire
au
service
de
la
nation,
en
utilisant
d’innovantes
approches
communicatives
et
pédagogiques
afin
de
mieux
informer,
éduquer
massivement,
former
et
homogénéiser
des
citoyens
au
patriotisme,
tolérance,
respect
des
valeurs républicaines pour le changement de mentalité.
«
C’est
en
semant
de
bonnes
graines
qu’on
moissonne
de
bonnes
récoltes
».
Tel
l’artiste
qui
lève
la
tête
et
regarde
le
tableau
pour
mieux
apprécier
son
œuvre
et
la
porter
à
la
perfection,
ces
missions
de
suivis
et
évaluations,
permettront
de
fournir
des
données
réalistes
pour
de
fiables
Indices
de
Développement
Humain
(IDH)
en
milieu
rural
au
Niger.
Pour
y
parvenir,
l’
Alliance
A2DER
&
RAR
fera
tourner
toutes
ses
turbines
à
plein
régime
aux
fins
de trouver des partenaires engagés et prêts à l’épauler dans ce travail titanesque de longue haleine.